Coucou ! Bon je me lance !!!
voila un petit one shot !!!
C'est pas moi qui l'ai écrit mais ma cousine !
J'espère qu'il vous plaira !!!!!
LA PROMESSE
Assis au volant de ma toute nouvelle voiture, je ressasse des pensées assez diverses. Je ne peux pas m’en empêcher, elle m’a toujours fait cet effet là. Je n’ai jamais réussi à me concentrer en pensant à elle. Imaginait en la voyant ! Moi, le grand Nathan Petrelli, incapable de penser correctement rien qu’en entendant le nom d’une femme ! J’ai tout de même des circonstances atténuantes, cette femme n’est pas banale ! On a souvent dit que les hommes politiciens étaient incapables de tenir une promesse. Pourtant, une chose est sûre dans mon cerveau pourtant embrouillé, il y a au moins une promesse que je tiendrais.
La promesse que j’ai faites à cette femme.
Bien sûr les années ont passées et bien des choses ont changés mais, comme je lui ai dit, en cas de besoin je serai là.
Elle a perdu son mari il y a de ça plus de six mois déjà. Ma femme m’a quitté moins d’une semaine plus tard.
Un panneau routier m’indique que je suis à l’entrée de la ville. Sa ville. Cela fait maintenant presque deux ans que je ne l’ai pas vu. Deux ans ! Que le temps passe vite ! J’aurais aimais la voir plus souvent, plus longtemps, mais la vie nous a séparé. Le destin peut être si cruel. Je range lentement la voiture sur le bord du trottoir et souffle un bon coup. Je m’apprête à descendre quand un trop plein d’émotions me transperce de part en part. Elle m’a tellement manquée ! Ses grands yeux parfois insondable, son sourire à la fois triste et heureux…
Tout chez elle me fait défaut. Sur la pelouse de sa jolie maison, son fils, devenu un vrai petit homme, joue au foot avec un ami. Je prend mon courage à deux mains et me décide à monter ma présence. A travers la fenêtre de la cuisine, tandis que j’avance vers la porte, je vois un rideau de cheveux blond cacher son regard si magnifiquement intense. Paraissant deviner ma présence, elle lève les yeux et me sourit. Ce sourire là est sans équivoque : elle est heureuse de me voir. Cette simple pensée me réchauffe le cœur. Toutes pensées cohérentes désertent mon cerveau. Malgré tout, mes cordes vocales articulent seules quelques mots :
-« Je suis là, Nicky. »